vendredi 30 septembre 2011

Le prince Philippe à Ath

Le jeudi 29 septembre, le prince Philippe a assiste dans l'après-midi à l'inauguration de deux nouvelles unités de production de l'entreprise Floridienne Chimie à Ath. Cette entreprise créée en 1898 est active notamment dans la production et le recyclage de sels de métaux et dans la fabrication d'additifs pour plastiques.

(Sudpresse)

(Sudpresse)

jeudi 29 septembre 2011

Commémoration à Breendonk

Chaque année, le Fort de Breendonk est le lieu de commémoration de l'horreur et de la souffrance causées par le nazisme. Ce dimanche 25 septembre 2011, la cérémonie s'est déroulée en présence du représentant du Roi et du Chef de la Défense, le général Charles-Henri Delcour. La Musique Royale des Guides était également présente pour la cérémonie.

Les autorités militaires et civiles ainsi que d'anciens prisonniers, combattants et vétérans se réunissent chaque année dans le fort pour ne pas oublier ce qu'il s'est passé dans le SS-Aufflanglager Breendonk. De septembre 1940 à septembre 1944 environ 3.500 prisonniers y ont séjourné.

En 1947, le Fort de Breendonk a été déclaré monument national. Il est le symbole perpétuant le souvenir des souffrances, des tortures et de la mort de tant de victimes.





La présidente de Pro Belgica, Jacqueline de Montjoye
et le porte-drapeau de l'association, Yves Roland 
(Photo Félicien Thiry)
(Photo Félicien Thiry)
Vidéo de la cérémonie : ici

mardi 27 septembre 2011

Commémoration des Journées de Septembre 1830

Ce samedi 24 septembre, des commémorations se sont tenues à Bruxelles afin de rappeler les journées de septembre 1830 qui virent des Volontaires de toute la Belgique, rejoindre Bruxelles et repousser l'armée hollandaise hors de la capitale. Il a fallu dénombrer plus de 1300 blessés et quelque 467 tués lors du début de la révolution entre le 23 et 27 septembre 1830. Ce sont ces soldats morts pour l’indépendance de notre pays qui reposent aujourd’hui dans la crypte de la Place des Martyrs.

Les commémorations se sont déroulées comme suit : cérémonie à la Colonne du Congrès et hommage au Soldat Inconnu, hommage à la statue du Roi Baudouin (devant la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule), cérémonie sur Place des Martyrs, dislocation du cortège sur la Grand-Place, réception à l'hôtel de ville et rassemblement folklorique devant le Manneken Pis. Ces commémorations sont organisées à l'initiative de l'asbl Pro Belgica, des Volontaires 1830 et de la Ville de Bruxelles. 

Photos de la journée :



Bravo aux bénévoles de Pro Belgica et des Volontaires 1830 pour l'organisation de cet après-midi !

Commémoration des Journées de Septembre 1830 - Colonne du Congrès

La Colonne du Congrès (rue Royale à Bruxelles) a été dessinée par l'architecte Joseph Poelaert. Construite en 1859, elle mesure 47 mètres de haut et est surplombée par la statue de Léopold Ier, premier roi des Belges. Le socle du monument reprend les noms des 237 membres du Congrès National de 1830 qui ont rédigé la première constitution de la Belgique indépendante. Les deux lions sculptés se trouvant au pied du monument ont été réalisés par le sculpteur liégeois Eugène Simonis.

Au pied de la Colonne du Congrès se trouve la tombe du Soldat Inconnu qui y repose depuis le 11 novembre 1922. Le Soldat Inconnu a été choisi parmi les victimes militaires de la première guerre mondiale selon une procédure fixée par le gouvernement belge et excluant toute identification ultérieure. A cinq endroits différents de Belgique, on a procédé à l'exhumation d'un cercueil contenant le corps d'un militaire non indentifié dont ni le grade, ni le rang n'étaient connus. Raymond Haesebroeck, un ancien combattant aveugle, a été chargé de choisir entre les cinq soldats défunts. Accompagné du ministre de la Défense, il se rendit dans la salle d'attente de la gare de Bruges et désigna le quatrième cerceuil en partant de la gauche comme étant celui contenant les restes du Soldat Inconnu de Belgique. L'inhumation eut lieu le lendemain au pied de la Colonne du Congrès en présence du roi Albert Ier.

Vincent Leroy, membre de Pro Belgica Hainaut

(Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

Jacqueline de Montjoye, présidente de Pro Belgica, signe le livre d'or (Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

Commémoration des Journées de Septembre 1830 - Hommage au Roi Baudouin

Les Volontaires 1830 se dirigent vers la statue du Roi Baudouin, devant la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule (Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

Les Volontaires 1830 traversent les galeries royales Saint-Hubert pour se rendre vers la Place des Martyrs (Photo Denis Noë)

Commémoration des Journées de Septembre 1830 : Place des Martyrs

La cérémonie qui se tient sur la Place des Martyrs constitue le temps fort de cette journée. Plusieurs autorités ont assistés à cette cérémonie : ainsi, entre autre, la Chambre des Représentants était représentée par son président André Flahaut et le Sénat par son vice-président Armand De Decker. Cette année, un Représentant du Roi honorait également de sa présence la cérémonie.
Avant les dépôts de fleurs par les autorités et les responsables d'associations patriotiques, Jacqueline de Montjoye, présidente de Pro Belgica, a prononcé un discours. La cérémonie s'est terminée par la Brabançonne chantée par Peter Broos, le responsable de la section Flandre orientale de Pro Belgica. Les Volontaires 1830 ont ensuite retraversé le centre-ville pour se rendre jusqu'à la Grand-Place. 
Prochainement : un article historique sur la Place des Martyrs et le Monument Patria
Monument Patria (Photo Denis Noë)
Arrivée du cortège sur la Place des Martyrs (Photo Denis Noë)
Yves Roland, le porte-drapeau de Pro Belgica (Photo Denis Noë)
Les autorités (Photo Denis Noë)
Le discours de Jacqueline de Montjoye, présidente de Pro Belgica (Photo Denis Noë)
Dépôts de couronnes de fleurs dans la crypte : ici, le Représentant du Roi, en compagnie de la présidente de Pro Belgica, dépose une couronne au nom du Roi et de la Reine (photo Denis Noë)
La Brabançonne, interprétée par Peter Broos, président de la section de Flandre Orientale de Pro Belgica (Photo Denis Noë)

Commémoration des Journées de Septembre 1830 : Grand-Place

Les Volontaires 1830 se dirigeant vers la Grand-Place (Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

Réception dans la salle gothique de l'hôtel de ville : une délégation de Pro Belgica Hainaut (Photo Denis Noë)

Commémoration des Journées de Septembre 1830 - Manneken Pis

Les Volontaires 1830 se dirigeant vers le Manneken Pis (Photo Denis Noë)

(Photo Denis Noë)

Le Mannken Pis portant le costume des Volontaires 1830 (Photo Denis Noë)

Cette cérémonie folklorique offre aux participants de cette journée le "miracle du Manneken Pis" : de la Kriek... (Photo Denis Noë)


dimanche 25 septembre 2011

Cérémonie à Escanaffles

Pilote de l’Australian Flying Corps, Thomas Baker a été abattu dans le ciel de Pottes le 4 novembre 1918. Son corps repose au cimetière d’Escanaffles. Il y a peu, son neveu Rik Baker est venu d’Australie pour se recueillir sur sa tombe lors d’un hommage empli d’émotion.

(Blog des Médaillés et Décorés du Tournaisis)
(Blog des Médaillés et Décorés du Tournaisis)


Reportage de No Télé :  ici

mardi 20 septembre 2011

mercredi 14 septembre 2011

"Que la Belgique crève? Questions aux séparatistes" (Herman De Croo)

Ancien ministre, ancien président de la Chambre et du VLD, Herman De Croo est actuellement député-bourgmestre de Brakel. Il a écrit un ouvrage bilingue sur le séparatisme qui se lit en une demi-heure. Ce concept me plaît car il donne les mêmes informations au nord et au sud du pays, ce qui est malheureusement trop peu souvent le cas. Il a eu raison de ne pas évoquer des raisons sentimentales ou nostalgiques, mais de se baser sur des dossiers concrets.

Herman De Croo explique que l'indépendance de la Flandre obtiendrait difficilement le soutien de pays comme la Grande-Bretagne ou l'Espagne, qui ne voudraient pas donner des ailes aux séparatistes écossais et basques. Il met en garde contre le départ probable de l'Otan et des institutions européennes vers un autre État plus stable.

Le député réfute toute comparaison entre la Belgique et la Tchécoslovaquie, car les Tchèques et les Slovaques n'ont pas de capitale commune. L'existence de Bruxelles oblige nos deux grandes communautés à s'entendre. Il fait également remarquer que de nombreux Flamands viennent travailler dans la région bruxelloise mais paient leurs impôts en Flandre ; qu'adviendraient-ils dans un Espace Wallonie-Bruxelles indépendant?

Herman De Croo explique également que l’État fédéral et la sécurité sociale prennent à leur compte le financement des coûts liés au vieillissement de la population, et que les séparatistes évitent soigneusement de revendiquer la régionalisation de cette compétence. Mais en cas de scission de la Belgique, les dépenses liées au vieillissement auraient des conséquences sur le budget de la Flandre, d'autant qu'il sera plus important au nord de la frontière linguistique.

Après avoir évoqué la difficulté de partager la dette publique, Herman De Croo écrit : "Il convient de faire preuve d'un certain réalisme et de savoir que la scission de la Belgique causerait d'énormes dégâts à notre image. La perte de confiance des investisseurs, élément qui leur est crucial, aurait un impact négatif sur notre image et impliquerait une baisse de la croissance économique et une diminution des investissements".

S'il estime qu'une réforme de l’État est nécessaire, il s'oppose au confédéralisme : "Ceux qui prônent un réel modèle confédéral comme solution pour l'actuelle réforme de l’État, se font des illusions. Ou, bien pire, donnent des illusions à d'autres".  Il fait remarquer que peu de séparatistes proposent des solutions concrètes aux difficultés citées dans son livre, et conclut que la scission de la Belgique aurait pour la Flandre bien plus de conséquences économiques négatives que de répercussions positives.

Vincent Leroy
Membre de Pro Belgica Hainaut

lundi 12 septembre 2011

Commémoration de la Journée internationale de la Résistance sur le site de la Malogne à Cuesmes

Après les allocutions du Dr. Dangoisse, Président de l'Union Nationale des Compagnons de la Libération, et de M. Jean-Pierre Dupont, Officier d’État civil, Échevin de l’État civil, de la Population et des Associations patriotiques, des fleurs ont été déposées par le Représentant du Collège montois, des pays étrangers (États-Unis, France, Russie et Pologne) et des Groupements étrangers et belges.




Discours de Monsieur Jean-Pierre Dupont :

Mesdames, Messieurs

Comme chaque année à la mi-septembre, le docteur Dangoisse, Madame Auquier et leurs amis nous donnent rendez-vous pour nous souvenir  d’un passé encore récent où notre commune était dans la tourmente.

Septembre 44, après quatre longues années de privation de liberté d’aller et venir librement, d’exprimer son opinion librement, de manger à sa faim chaque jour, de trembler à la vue d’une voiture noire avec des « hommes en manteau de cuir », notre commune est libérée par les forces alliées et plus précisément par l’armée des États-Unis d’Amérique.

La joie d’une liberté retrouvée envahissait la population, la vigilance était retombée d’un cran, mais l’ennemi était toujours aux abois, revanchard et décidé à calmer son ire sur les premiers venus.

Les premiers furent 4 résistants du Front de l’Indépendance :  Léon Delhaye, 20 ans, Evariste Bauvois, 19 ans, Albert et Jean Decrucq, 23 et 18 ans.
Les Allemands poursuivirent leur course meurtrière en mettant froidement fin aux jours de Léopold Bolette, 23 ans, résistant également ainsi  que Ladislaw Kunys, polonais, qui avait le tort de se trouver là où les Allemands aveugles de rage se trouvaient.

La course démente se termina par l’assassinat de Henri Delaunois, 25 ans, résistant et de Virgile Beillard, 22 ans. De nombreux civils n’appartenant pas aux mouvements de résistance furent victimes de cette vendetta.  Je citerai Camilla Stoquart et Fernande Vertenoeuil.

La commune de Cuesmes organisa pour ces héros des funérailles grandioses le 7 septembre, conseil communal en tête ; toute la population de Cuesmes se souvint de ses martyrs.

Quelques mois auparavant Auguste Nicodème, Commissaire de police avait froidement été abattu par des collaborateurs alors qu’il avait été soit disant rappelé pour assurer son service. La collaboration avec l’ennemi est une attitude abjecte qu’aucune situation si dramatique soit elle ne justifierait que l’on puisse gommer. Ce serait le pire affront que nous puissions infliger à celles et ceux qui ont donné vie et santé pour notre liberté.

Les années passent  et en 1970,  Emeric Larmusiaux qui avait participé aux combats de la résistance, réalise enfin avec le concours de René Noël,  dernier Bourgmestre de Cuesmes, grand résistant, et du conseil Cuesmois de l’époque, de faire ériger ce mémorial.

Sachez que dans le socle se trouve des urnes contenant de la terre russe, anglaise, française, canadienne, polonaise,  américaine ainsi que des camps de concentration.

L’année dernière, je vous disais que la Région wallonne avait lancé un appel à projet visant à remettre en état les sépultures, monuments et autres lieux de souvenir liés aux deux conflits mondiaux. Le collège a décidé de retenir ma proposition de s’inscrire dans le projet par lequel il est possible de remettre en état les sépultures des héros cités auparavant. Notre projet a été retenu par la Région wallonne. Les travaux conséquents de déplacement du monument à la résistance, de la remise en ordre des sépultures dégradées par le temps doivent être terminés pour la fin de l’année. C’est je pense une nouvelle, dont tout le monde se réjouit surtout le monument à la résistance dont on espère depuis longtemps le voir retrouver un endroit correct dans notre commune.

Aujourd’hui, nous vivons en paix depuis 1945, les institutions internationales ont permis cette période calme, c’est très bien ainsi.

N’oublions pas que dans nos organes représentatifs, siègent à nos côtés des représentants d’un parti qui glorifie les agissements d’Hitler. Je ne veux croire qu’ils soient vraiment des enfants de ce fascisme qui a provoqué les situations dont je viens de parler mais le fait,  pour notre système, de laisser des milliers de concitoyens en dehors du chemin, active ce phénomène.

Soyons attentifs, ne minimisons pas cette situation car finalement, elle rappelle les années précédant le conflit  qui coûta notamment la vie à celles et ceux pour qui nous sommes là aujourd’hui.

Je vous remercie de votre présence et de votre attention



Gaston Meuwis, Porte-Drapeau National, Croix de Guerre et Armée Secrète,
Vice-Président Croix de Guerre Brabant

Merci à Maryse Romain (photographe de Jean-Pierre Dupont, échevin de l’État-Civil et des associations patriotiques à Mons) pour les photos

dimanche 11 septembre 2011

Communiqué

Nous sommes contre la proposition de loi sur l'amnistie déposée par le Vlaams Belang au Sénat. Comme l'ont déjà fait certaines d'entre elles (Ham-sur-Heure, Pont-à-Celles, Courcelles, Leuze-en-Hainaut, Charleroi, La Louvière, p.ex.), nous demandons à toutes les communes de la province du Hainaut de voter une motion contre cette proposition de loi.

Pro Belgica Hainaut
Association Régionale des Militaires Belges en Allemagne
Comité de la Mémoire de Mont-de-l'Enclus
Relais de la Mémoire de Mont-de-l'Enclus
BPlus Hainaut
Association patriotique de Bougnies
Provinciale du Hainaut de la Société Royale Philanthropique des Médaillés et Décorés de Belgique
Régionale de Charleroi de la Société Royale Philanthropique des Médaillés et Décorés de Belgique
Comité de liaison des associations patriotiques de Charleroi
Fraternelle Royale de la 4ème Brigade d'Infanterie "Steenstraete" - section Hainaut
Section de Buvrinnes de la Fédération Nationale des Combattants de Belgique
BUB Hainaut
Front Unique National des Anciens Combattants
Union de Défense et des Intérêts des Anciens Combattants
Section de Leuze-en-Hainaut de la Ligue Royale des Vétérans du roi Léopold III
Entente des Groupements Patriotiques d'Obourg

vendredi 9 septembre 2011

Le prince Philippe à Obourg

Le prince Philippe a assisté dans la matinée à la célébration officielle du 100ème anniversaire de l'entreprise de ciments Holcim à Obourg. Le prince a visité l'entreprise et inauguré une plaque commémorative en présence du personnel et des invités de l'entreprise. Il a participé ensuite à un standing-lunch dans la carrière.

Photo : La Province

Photo : La Province


mercredi 7 septembre 2011

Commémoration de la Libération à Obourg




Discours de Madame Ghislaine Gousset (épouse Plisnier), présidente de la F.N.A.P.G. et de l’Entente des Groupements patriotiques d’Obourg :
 
Monsieur le Représentant de la Ville de Mons,
Messieurs les Anciens,
Mesdames, Messieurs, chacun en vos titres et qualités,
Chers Sympathisants.

En septembre 44, la population belge aspirait à  la fin de l’hostilité allemande. Enfin libres, les prisonniers avaient hâte de rejoindre leur foyer où les attendaient une mère, une épouse, un enfant qu’ils n’ont peut-être pas vu naître, en un mot, une famille en attente de retrouvailles. Souvent pauvre mais heureux d’être LIBRE, nos anciens ont tenu à perpétuer la mémoire de toutes les victimes de cette guerre. Malheureusement, aujourd’hui, beaucoup, beaucoup trop de gens oublient que c’est grâce à ces victimes que nous vivons en démocratie. Défendons-là car des vautours rôdent…

La paix, la liberté, la tolérance et la solidarité  doivent conduire nos actions quotidiennes. Ayons le courage de  transmettre à nos enfants, les hommes de demain, ces quatre mots qui sont, pour moi, la base essentielle d’une société.

Pour toutes celles et ceux qui nous ont légué  une certaine quiétude, je vous demande une minute de silence.
Selon la tradition, l’Entente des Groupements Patriotiques d’Obourg  vous invite à partager le verre de l’amitié au café de la place du village.

Je vous remercie de votre participation et espère vous revoir à la prochaine manifestation patriotique.




Merci à Maryse Romain (photographe de Jean-Pierre Dupont, échevin de l’État-Civil et des associations patriotiques à Mons) pour les photos