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dimanche 12 juin 2016

Perwez et la révolution de 1830

Lors de la Révolution belge de 1830, un contingent comportant quarante habitants de Perwez est parti pour Bruxelles. Parmi eux François-Eugène Delvigne qui est décédé lors des combats et qui est inhumé dans la crypte de le Place des Martyrs. Ce contingent comptait également quelques habitants des villages voisins, tels que Malèves. Ce fut ainsi le cas de Hyacinthe Gilisquet qui a combattu à Bruxelles puis Anvers. Il est décédé à Wastinnes en 1885. 

Photo ; Philippe Ronneau

Pour saluer l’implication de ses volontaires lors de la révolution, Perwez a reçu en 1832 un drapeau d’honneur des mains du roi Léopold Ier. Abîmé au cours des deux occupations allemandes en 1914-1918 et 1940-1945, le drapeau original n’a pas pu être conservé. Une copie en a été réalisée. Elle orne aujourd’hui le bureau du bourgmestre. 

Photo : Commune de Perwez

Ce drapeau d’honneur ne doit pas être confondu avec le drapeau que les volontaires perwéziens avaient confectionné avec la mention « Perwez – Pour la Patrie – 1830 ». Portant les couleurs tricolores disposées de manière horizontale, le drapeau comportait également une étoffe bleue. La légende veut que ce morceau de tissu provienne d’une robe de la princesse Marianne d’Orange-Nassau réduite en lambeaux au moment des événements de 1830. La famille de Burlet fit don de ce drapeau en 1970 au Musée de l’Armée et d’Histoire Militaire de Bruxelles. Sous l’impulsion des associations patriotiques et du cercle d’histoire local, une réplique de ce drapeau a été confectionnée. Elle a été inaugurée à Perwez en septembre 2007. 

L'ancien monument construit en 1905

En 1905, à l’occasion des célébrations du 75ème anniversaire de l’indépendance, un monument rendant hommage aux volontaires de 1830 a été inauguré à Perwez. Ce monument a été détruit le 13 mai 1940 par un obus allemand tombé dans les parages. Un nouveau monument a par la suite été érigé sur la placette Saint-Roch avec cette inscription : « Amour de la Patrie – A nos glorieux Perwéziens qui ont combattu pour l'indépendance de la Belgique en 1830 ». Les noms des volontaires y sont gravés, en premier lieu ceux qui sont « morts au champ d'honneur », à savoir F. E. Delvigne et J. Ph. Manhay. Quant à N. J. Josse, C. Brosquart, C. Mathy et F. Renard, ces volontaires furent « blessés ».

Photo : Philippe Ronneau
Photo : Philippe Ronneau

Voici la liste de ceux « ayant pris part à la révolution » : E. Henry (commandant), C. de Burlet (capitaine), H. Goyens (lieutenant), F. de Burlet, J. de Burlet, H. Gilisquet, C. Gilisquet, C. Gilisquet, E. Henry, G. Henry, M. Henry, J. Valeriane, N. Mathy, N. J. Hemptinne, F. A. Hemptinne, F. Manhay, F. J. Delcarte, T. Bailli, Dejehet père, Dejehet fils, J. Fastre, F. Heirson, A. Dangotte, J. Geniesse, J. Delwasse, A. Naniot, P. J. Piront, A. Potelet, G. Gerondal, E. Raymond, P. J. Ravet, J-B. Milaire, J. Proces, J. Mollue, A. Gerondal, P. J. Barreau et A. Dubois.  Seul le volontaire Joseph Dethier n’y figure pas : c’était sa volonté de ne recevoir aucun hommage pour son engagement en 1830.

Photo : Philippe Ronneau
Photo : Philippe Ronneau
Photo : Philippe Ronneau

Merci à Philippe Ronneau pour ses photos du drapeau d'honneur et de l'actuel monument. 

vendredi 23 octobre 2015

Hommage à Jean Botteau (Volontaire de Bruxelles 1830)

Notre présidente Jacqueline de Montjoye et notre porte-drapeau Yves Roland ont représenté l'asbl Pro Belgica le 18 octobre à Grez-Doiceau à l'hommage à Jean Botteau (membre des Volontaires de Bruxelles 1830), décédé il y a quelques semaines.











Merci à Denis Noë de nous autoriser à reprendre ses photos.

dimanche 21 décembre 2014

Colonne aux volontaires de 1830 à Nivelles

Afin de commémorer les événements de 1830, un arbre de la Liberté, un peuplier d'Italie, fut d'abord planté en bas de la rue de Mons. Par la suite, un monument néo-classique, commandé au marbrier nivellois Joseph Lanneau, fut inauguré le 16 décembre 1834 à proximité de la Collégiale Sainte-Gertrude. Il s'agit d'une colonne cannelée, brisée, posée sur un piédestal. Évoquant la mort prématurée des hommes fauchés durant les combats, la colonne, atteignant trois mètres, est ceinte en son sommet d'une couronne de laurier dorée. Sur l'une des faces du piédestal est reprise, en lettres dorées, un extrait en latin du onzième livre de l'Énéide se traduisant par : "Que ces âmes généreuses, dont le sang versé nous conquit une patrie nouvelle, reçoivent vos derniers adieux et vos tributs funèbres". En 1848, le monument a été déplacé au cimetière Saint-Pierre avant de revenir à son emplacement initial en 1905. Depuis la Libération en 1944, une cérémonie s'y déroule chaque année. Le monument a finalement été déplacé en septembre 1984 sur l'Esplanade du Souvenir, au croisement de la rue de Saintes et de la rue de Charleroi.



Plusieurs Nivellois se sont illustrés durant la Révolution belge et ont reçu à cet effet la Croix de fer. Godefroid Houze, libraire, afficha dès les premiers jours de septembre des proclamations patriotiques à Nivelles et dans les environs, distribua des armes et n'hésita pas à rejoindre Bruxelles pour combattre avec son fils. Le chirurgien Jean-Baptiste Bary, volontaire durant quatre jours à Bruxelles ainsi que sur la ligne de combat jusqu'à Anvers, procura ses soins aux blessés. Le 23 septembre, François Chapelle, bourrelier, fut blessé à la tête par un coup de baïonnette lors de l'attaque de l'Hôtel de Ville. Et dans la nuit du 23 au 24 septembre, alors que les Nivellois demandaient des armes pour pouvoir marcher sur Bruxelles, plusieurs habitants furent blessés suite à des coups de feu : les voituriers Jean-Baptiste Delpierre (au bras gauche) et Théodore Delpierre (à la jambe gauche), le maçon Hyacinthe-Joseph-Ghislain L'Empereur (deux coups de feu au ventre et à la cuisse) - il s'était d'ailleurs posté avec un autre volontaire à la caserne de la maréchaussée pour empêcher l'enlèvement des poudres qui y étaient cachées - ou encore Victor Francq (au bras gauche) qui exerçait comme tailleur. 




Le 24 septembre, le poissonnier Jean-François Laurent, déjà sexagénaire, arriva à Bruxelles pour combattre avec ses trois fils. L'un d'eux, Dieudonné, qui était menuisier, fut blessé le jour-même par un coup de feu à la jambe droite au niveau de la Montagne du Parc. Le lendemain, Christophe Blanc, frère à l'hospice des vieillards de Nivelles, porte-drapeau de la délégation des volontaires, fut atteint à la cuisse droite en plantant son drapeau à la grille du Parc. Joseph-Ghislain Beauloy, un manœuvre, alla le rechercher et porta son camarade sur son dos. Trois Nivellois furent également blessés ce jour-là : l'ouvrier menuisier Alexandre Blanc à la main droite en combattant sur la Place Royale, Jean-Louis Alardin, qui était cabaretier à Bruxelles, à la cuisse droite près des Etats-généraux ainsi que Louis-Joseph Bomal en combattant à l'Hôtel Belle-Vue. Ce-dernier, rentier, refusa l'indemnité à laquelle il eut droit par la suite au profit d'un blessé nécessiteux. 

AUX BRAVES
MORTS
POUR LA PATRIE EN
1 8 3 0

.... ECREGIAS ANIMAS, QUAE SANGUINE NOBIS
HANC PATRIAM PEPERERI SUO, DECORATE SUPREMIS
MUNERIBUS..... ENEID.XI.24.


Le 26 septembre, le tisserand Hubert Canelle eut les habits percés par la mitraille en gravissant la Montagne du Parc. Des volontaires ont poursuivi les combats au-delà de Bruxelles. Hubert Derny avait déjà été blessé le 24 septembre à la main gauche à Berchem. Au combat de Lierre, le 19 octobre, le boutiquier Pierre Payen fut victime d'un coup de feu au cou tandis que Jean-Baptiste Alardin, soldat au 1er régiment des chasseurs à cheval, s'est fait remarquer, sur la barricade de Lips (faubourg de Lierre), en plantant le drapeau de son bataillon. Par ailleurs, trois Nivellois, décédés lors des combats, sont inhumés dans la crypte de la Place des Martyrs à Bruxelles : Constant Jubert, Jean-J. Voituron et Jacques Chapelle. 

Merci à Myriam Roland pour ses photographies ainsi qu'à Yves Roland, administrateur de Pro Belgica, pour son entremise. 
 __________________
Sources:
- Liste nominative des citoyens décorés de la Croix de fer publiée d'après le Moniteur par les soins de la Société centrale des décorés de la Croix de fer (1865), Bruxelles, P.-M. Michelli
- "Le monument aux morts de Nivelles", Connaître la Wallonie [en ligne]
- "Colonne aux volontaires de 1830 (Nivelles)", Wikipédia [en ligne]

vendredi 17 janvier 2014

Braine l'Alleud et 1830

Le 24 septembre 1830, vingt-neuf volontaires de Braine l'Alleud, rassemblés sous la houlette de Félicien Mercier, un négociant, ont pris le départ pour la capitale afin de participer à la Révolution belge. Trois d'entre eux ont laissé leurs vies lors des combats et l'un de ces volontaires, François (-Joseph) Plisnies, a été enterré dans la crypte sur la place des Martyrs à Bruxelles.



En 1905, à l'occasion du 75e anniversaire de l'indépendance belge, « la commune de Braine l'Alleud reconnaissante » a placé une plaque commémorative « à ses enfants qui combattirent pour l'indépendance de la patrie » sur la façade de l'hôtel de ville. Le nom des vingt-neuf volontaires y sont inscrits : Thomas Adriaens, Ghislain Bernier, Laurent Bourgheys, Marcelin Charlier, Gilles Christianne, Charles Coomans, Napoléon Cossiau, Pierre Decry, Michel Delval, Charles Dubray, Félicien et Maurice Dupierreux, Alexis François, Pierre Hautphenne, Louis Hazard, Ignace Joniaux, Nicolas Lebrun, Casimir Lepas, J.-François Marchal, J.-Baptiste Matheys, Désiré, Félicien et Paul-Léon Mercier, Félix Meurisse, François Plisnies, Joseph Scourneau, Eugène Waerseggers, Adrien Wilputte et J.J. Witterzael.



Attardons-nous sur la personne de Thomas Adriaens pour qui nous disposons de plusieurs informations biographiques. Né le 1er décembre 1791 dans le village de Ménil, il était maçon de formation. Lors de la période française, il est appelé sous les drapeaux en 1811,enrôlé dans le 112e de ligne, il a servi en Toscane puis a participé à la campagne napoléonienne en Allemagne. En 1858, il a d'ailleurs été décoré de la Médaille de Sainte-Hélène.  Il s'est marié en octobre 1817 à Caroline Delval et le couple a eu huit enfants. C'est sans hésitation qu'il se rallie au mouvement révolutionnaire de 1830, y entraînant deux proches, Jean-Baptiste Matheys et Jean-Baptiste Arnoud (dont le nom n'est pas repris sur la plaque). Thomas Adriaens est revenu à Braine l'Alleud en novembre 1830. Il est décédé à Waterloo le 8 mai 1878.





En novembre 1830, la commune, à l'instar de nombreuses autres, a planté un arbre de la liberté (un peuplier) sur la Grand-Place. En 1832, elle a également reçu des mains du roi Léopold Ier un drapeau d'honneur, conservé dans la salle des mariages de l'hôtel de ville. 

© IRPA

Nous remercions vivement l'administration communale de Braine l'Alleud pour les photos qu'elle nous a faites parvenir. 

samedi 10 mars 2012

Le drapeau d'honneur 1830 de Wavre


Ce drapeau remis entre les mains d'une délégation wavrienne par le roi Léopold Ier le 25 avril 1832, a malheureusement brûlé en mai 1940, suite aux bombardements allemands sur la ville. En 1948, dans un souci de mémoire et de restauration du patrimoine historique, le Cercle historique de Wavre a décidé de faire réaliser une réplique exacte du drapeau qui a été remise officiellement en 1955 à la ville. Longtemps conservé dans les locaux de la Police, le drapeau a réintégré l'Hôtel de Ville en 2009.

Merci à Yves Roland, porte-drapeau de Pro Belgica, pour ses recherches, ainsi qu'à Mme François Pigeolet, Premier échevin pour son aide.

mardi 7 février 2012

Le drapeau d'honneur 1830 de La Hulpe

Le drapeau, remis en 1832 par le roi Léopold Ier à la délégation envoyée par La Hulpte, est exposé à la maison communale. Le drapeau a été restauré en 1979.


Merci à Marc Brans, bibliothécaire et archiviste du Cercle Historique de Collectionneurs de Décorations et Médailles.

vendredi 16 décembre 2011

Les provinces du Brabant

La légende antique que l’on évoque à propos d’Anvers fournit une très simple et très claire étymologie du mot « Brabant ». Brabo, un parent de Jules César aurait terrassé le géant Antigon et, lui appliquant la loi du talion, lui aurait coupé la main et l’aurait jetée dans l’Escaut. Par reconnaissance envers son libérateur, le pays ainsi délivré d’Antigon aurait adopté son nom et serait appelé « Brabant ». Les étymologistes de notre temps récusent toutefois pour le nom du Brabant, cette origine légendaire. Ils prétendent que, dans le langage des Francs, le terme « bant » ou « band » désignerait un district, une marche, une bande de terrain, une zone, une terre libre autour d’un centre habité et que « brak » ou « braak » se disait d’une terre en friche, d’une jachère . Un « braak-band » aurait donc été « une marche de terre marécageuse ou broussailleuse », ce qui pouvait se dire spécialement de territoire avoisinant la « Brakena », terme d’antique désignation commune de la Senne ou de la Braine et du Hain ainsi que de leurs vallées. Et ce « braak-band » aurait donné par extension son nom à tout le territoire de l’état féodal dont les seigneurs établirent en cette région leur principale résidence. Les chercheurs qui ont scruté les langues scandinaves sont portés à croire que « Brachbante », « Bragband » viendrait de « braka » : faire irruption ; et « band » : bande, horde.



Le territoire qui devint plus tard, le duché de Brabant était occupé, avant la conquête romaine, par les Nerviens et les Ambivarites. Il était situé dans la partie septentrionale de la Lotharingie qui devint le duché de Lothier et dont la couronne passa, au début du XIe siècle, du carolingien Charles de France à la maison d’Ardenne, dans la personne de Godefroid, fils du comte de Verdun, Godefroid le Captif. A la mort de Godefroid de Bouillon, qui survint à Jérusalem en 1100, l’empereur Henri IV donna le duché de Lothier à Henri, comte de Limbourg. Henri V le retira à celui-ci pour le donner, le 13 mai 1106, à Godefroid le Barbu, septième comte de Louvain.

Jean Ier de Brabant
Les comtes de Louvain, issus de Régnier III de Hainaut, avaient déjà hérité à cette époque, du comté de Bruxelles. Ils étaient avoués des abbayes de Nivelles et de Gembloux et s’étaient partagé, avec le comte de Hainaut, le territoire du comté de Hal. La marche d’Anvers, dépendance directe des ducs de Lothier vint grossir le domaine de Godefroid le Barbu qui s’intitula dorénavant duc de Brabant. Jean Ier, qui accéda au trône ducal en 1261, vainquit une coalition des princes d’Entre-Meuse et Rhin et conquit le duché de Limbourg en 1288. La lignée mâle de la dynastie du Brabant s’éteignit avec Jean III dont la fille Jeanne épousa Wenceslas de Luxembourg et eut pour héritier son petit neveu, Antoine de Bourgogne. Antoine de Bourgogne périt à Azincourt, en 1415 et son fils ainé devint duc de Brabant sous le nom de Jean IV et mourut sans enfants, en 1427. Son frère et héritier, Philippe de Saint-Pol, disparût également sans hoirs, trois ans plus tard et Philippe le Bon ajouta, en 1430, à ses titres, déjà nombreux, celui de duc de Brabant qui fut porté par tous les souverains ultérieurs des Pays-Bas.

En 1795, le ci-devant duché de Brabant fut scindé en deux départements : celui de la Dyle, comprenant le sud du Duché avec Bruxelles comme chef-lieu et celui des Deux-Nèthes, comprenant le marquisat d’Anvers et la seigneurie de Malines. Cette division se confirma pendant la réunion de la Belgique et des Pays-Bas, les anciens départements des Deux-Nèthes et de la Dyle devenant respectivement les provinces d’Anvers et de Brabant.

S.A.R. le prince Philippe, actuel duc de Brabant
Depuis l’indépendance de la Belgique, le titre de duc de Brabant est attribué à l’héritier présomptif du trône. « En restaurant ces titres (duc de Brabant, comte de Flandre et comte de Hainaut), qui vivent dans la mémoire du peuple, dit le rapport présenté au Roi, le 14 décembre 1840, le gouvernement a voulu renouer la chaine des traditions du pays, attacher à la monarchie nouvelle, symbole et force de l’unité nationale, la puissance des souverains d’un autre temps ». Le titre fut conféré le 14 décembre 1840 au prince Léopold, le futur roi Léopold II. Le prince Léopold, fils unique de Léopold II, fut le suivant duc dès l’accession au trône de son père en 1865 et jusqu’à son décès du jeune garçon en 1869. S.M. le roi Léopold III le porta à son tour et, lorsqu’il devint roi des Belges en 1934, il transmit le titre de duc de Brabant à son fils Baudouin, comte de Hainaut. S.M. Baudouin abandonna le titre ducal en 1951, lors de son inauguration comme Roi des Belges. Il faut attendre la mort inopinée du Roi Baudouin, le 31 juillet 1993, pour que le prince Philippe devienne officiellement Prince héritier et relève le titre de duc de Brabant




Bernard Coomans de Brachène
Administrateur de Pro Belgica

dimanche 13 novembre 2011

dimanche 14 août 2011

Le drapeau d'honneur 1830 de Grez-Doiceau

Le drapeau d'honneur Grez-Doiceau est encore très bien conservé et est toujours monté sur hampe, mais il pourrait s'agir d'une copie. Il participe aussi à l'un ou l'autre événement patriotique.

Le drapeau a été sorti par les Volontaires 1830 lors de la dernière fête nationale à Bossut, en province du Brabant wallon (Photo Denis Noë)

La hampe du drapeau (Photo Denis Noë)

samedi 13 août 2011

Fête nationale à Bossut

Voici quelques photos de la fête nationale à Bossut, dans la province du Brabant wallon, où étaient présents des Volontaires 1830.

(Photo Denis Noë)
(Photo Denis Noë)
(Photo Denis Noë)
(Photo Denis Noë)
(Photo Denis Noë)
Merci à Denis Noë pour les photos de cette journée.

vendredi 22 juillet 2011

Te Deum princier de Wavre

La princesse Astrid et son époux, le prince Lorenz, ceux-ci assistaient à un Te Deum en l'église Saint-Jean-Baptiste à Wavre. Quelques dizaines de spectateurs étaient présents. Un accueil militaire a été rendu sur le parvis. La cérémonie religieuse a été suivie d'une séance solennelle à l'hôtel de ville.





Photos de la Ville de Wavre (merci à Yves Roland, porte-drapeau de Pro Belgica, de nous les avoir signalées)